P. Bataillard; B. Girondelot; V. Guérin; A. Laboudigue; J. Lions; J. van der Lee Mobilité des éléments traces dans un Anthroposol développé sur des sédiments de curage fortement contaminés - 1 - Migration à l'échelle du profil Article de journal Dans: Étude et Gestion des Sols, 15 (1), p. 7-18, 2008. @article{a_Bataillard2008,
title = {Mobilité des éléments traces dans un Anthroposol développé sur des sédiments de curage fortement contaminés - 1 - Migration à l'échelle du profil},
author = {P. Bataillard and B. Girondelot and V. Guérin and A. Laboudigue and J. Lions and J. van der Lee},
editor = {Association Française pour l'Étude du Sol},
url = {https://www.afes.fr/wp-content/uploads/2017/10/EGS_15_1_bataillard.pdf},
year = {2008},
date = {2008-12-01},
journal = {Étude et Gestion des Sols},
volume = {15},
number = {1},
pages = {7-18},
abstract = {Le maintien d’une profondeur d’eau suffisante des voies de navigation nécessite leur curage régulier. Le devenir le plus fréquent matériaux dragués est la mise en dépôt à proximité du lieu d’extraction. Jusqu’à il y a une vingtaine d’année celle-ci se faisait sans précaution particulière. Ainsi, dans certaines régions industrialisées, des matériaux contaminés en divers polluants organiques et inorganiques ont été déposés sur des sols perméables. Dans le nord de la France, l’un de ces sites est à l’heure actuelle particulièrement préoccupant en raison d’un niveau de contamination exceptionnel en divers éléments (Pb, Zn, Cd, As, Se…). L’altération météorique de ce sédiment de curage depuis sa mise en dépôt en 1976 conduit à la formation d’un Anthroposol au fonctionnement pédologique mal connu. Les potentialités de transfert des polluants vers la nappe de la craie ne sont donc pas appréhendées à l’heure actuelle. Au cours de ce travail, des observations de terrain, suivies de caractérisations au laboratoire, ont été entreprises pour comprendre les processus pédogénétiques impliqués dans la transformation du sédiment et en déduire leur impact sur la mobilisation des polluants au cours du temps. Les observations de terrain jusqu’à un mètre de profondeur environ ont montré que le matériau très contaminé constitue la couche de surface d’un profil complexe dont la structure en couche est en grande partie due à la succession dans le temps des phases de dépôt. La couche de surface présente des fentes quasi verticales de largeur parfois centimétrique qui sont des passages préférentiels des eaux météoriques. Il en découle un gradient d’altération d’échelle décimétrique entre la paroi de la fente et l’intérieur du solide induit par les passages préférentiels des fluides météoriques oxydants. Une analyse fine des teneurs en éléments de deux matériaux correspondant à des degrés d’altération différents, couplée à un traitement statistique des données obtenues, a permis de mettre en évidence un départ de près de 60 % du Cd et 20 % du Zn du matériau initial après environ 25 ans d’altération. Au contraire, un enrichissement d’un facteur trois en As a été constaté dans le matériau altéré au contact des fentes par rapport à son homologue peu altéré. Il s’accompagne d’une augmentation des concentrations en fer de l’ordre de 35 %. Les néoformations associant Fe et As, identifiées localement, sont des pièges efficaces pour As puisque cet élément n’est que peu présent dans les couches sous-jacentes. En définitive, les données recueillies indiquent que le matériau est en cours d’altération. Il constitue une source d’éléments toxiques dont certains sont mobilisables par un simple échange ionique.
Mots clés : Anthroposol, élément trace, pédogenèse, sédiment de curage, transfert;},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Le maintien d’une profondeur d’eau suffisante des voies de navigation nécessite leur curage régulier. Le devenir le plus fréquent matériaux dragués est la mise en dépôt à proximité du lieu d’extraction. Jusqu’à il y a une vingtaine d’année celle-ci se faisait sans précaution particulière. Ainsi, dans certaines régions industrialisées, des matériaux contaminés en divers polluants organiques et inorganiques ont été déposés sur des sols perméables. Dans le nord de la France, l’un de ces sites est à l’heure actuelle particulièrement préoccupant en raison d’un niveau de contamination exceptionnel en divers éléments (Pb, Zn, Cd, As, Se…). L’altération météorique de ce sédiment de curage depuis sa mise en dépôt en 1976 conduit à la formation d’un Anthroposol au fonctionnement pédologique mal connu. Les potentialités de transfert des polluants vers la nappe de la craie ne sont donc pas appréhendées à l’heure actuelle. Au cours de ce travail, des observations de terrain, suivies de caractérisations au laboratoire, ont été entreprises pour comprendre les processus pédogénétiques impliqués dans la transformation du sédiment et en déduire leur impact sur la mobilisation des polluants au cours du temps. Les observations de terrain jusqu’à un mètre de profondeur environ ont montré que le matériau très contaminé constitue la couche de surface d’un profil complexe dont la structure en couche est en grande partie due à la succession dans le temps des phases de dépôt. La couche de surface présente des fentes quasi verticales de largeur parfois centimétrique qui sont des passages préférentiels des eaux météoriques. Il en découle un gradient d’altération d’échelle décimétrique entre la paroi de la fente et l’intérieur du solide induit par les passages préférentiels des fluides météoriques oxydants. Une analyse fine des teneurs en éléments de deux matériaux correspondant à des degrés d’altération différents, couplée à un traitement statistique des données obtenues, a permis de mettre en évidence un départ de près de 60 % du Cd et 20 % du Zn du matériau initial après environ 25 ans d’altération. Au contraire, un enrichissement d’un facteur trois en As a été constaté dans le matériau altéré au contact des fentes par rapport à son homologue peu altéré. Il s’accompagne d’une augmentation des concentrations en fer de l’ordre de 35 %. Les néoformations associant Fe et As, identifiées localement, sont des pièges efficaces pour As puisque cet élément n’est que peu présent dans les couches sous-jacentes. En définitive, les données recueillies indiquent que le matériau est en cours d’altération. Il constitue une source d’éléments toxiques dont certains sont mobilisables par un simple échange ionique. Mots clés : Anthroposol, élément trace, pédogenèse, sédiment de curage, transfert; |
M. Marie; P. Le Gouée; M. Bermond De la terre au sol : des logiques de représentations individuelles aux pratiques agricoles - Etudes de cas en Pays d'Auge (Basse-Normandie) Article de journal Dans: Étude et Gestion des Sols, 15 (1), p. 19-36, 2008. @article{b_Marie2008,
title = {De la terre au sol : des logiques de représentations individuelles aux pratiques agricoles - Etudes de cas en Pays d'Auge (Basse-Normandie)},
author = {M. Marie and P. Le Gouée and M. Bermond},
editor = {Association Française pour l'Étude du Sol},
url = {https://www.afes.fr/wp-content/uploads/2017/10/EGS_15_1_marie.pdf},
year = {2008},
date = {2008-12-01},
journal = {Étude et Gestion des Sols},
volume = {15},
number = {1},
pages = {19-36},
abstract = {L’étude menée dans le Pays d’Auge (Basse-Normandie) a été consacrée à la construction d’un questionnement sur l’impact des perceptions et des représentations individuelles des sols sur les pratiques agricoles. Il s’agissait de s’interroger sur l’influence des modes de représentation des terres locales sur la conduite actuelle d’un système extensif d’agriculture herbagère. Pour cela, deux actions ont été engagées conjointement : un travail d’enquête auprès d’une vingtaine d’agriculteurs afin de comprendre les logiques de perception/représentation des sols et l’élaboration d’une base de données des sols dans le but de poser une expertise objectivée de la qualité des terres. Les premiers résultats montrent que les perceptions relèvent de moments privilégiés d’observation des sols liés aux différentes opérations techniques conduites par les agriculteurs. Le terme de ‘ terre ‘ témoigne de l’absence d’une représentation verticale des couvertures pédologiques. Plus généralement, la confrontation des champs lexicaux relatifs aux sols avec les données analytiques soulignent des mécanismes de perception et de représentation faisant rarement référence aux propriétés des sols et à la notion de fertilité. L’impact des représentations sur la gestion spatiale du système de production à l’échelle de l’exploitation agricole est fonction du mode d’occupation du sol (prairie ou culture) et du niveau de formation des agriculteurs. Les premiers résultats laissent entrevoir la complexité des relations perceptions/représentations – pratiques agricoles – système de production. Actuellement, de nouveaux travaux visent à approfondir ces relations dans des systèmes agricoles plus intensifs et plus céréaliers.
Mots clés : Sol, terre, perception, représentation individuelle, pratique agricole, système de production, qualité des sols, Pays d`Auge, Basse-Normandie.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L’étude menée dans le Pays d’Auge (Basse-Normandie) a été consacrée à la construction d’un questionnement sur l’impact des perceptions et des représentations individuelles des sols sur les pratiques agricoles. Il s’agissait de s’interroger sur l’influence des modes de représentation des terres locales sur la conduite actuelle d’un système extensif d’agriculture herbagère. Pour cela, deux actions ont été engagées conjointement : un travail d’enquête auprès d’une vingtaine d’agriculteurs afin de comprendre les logiques de perception/représentation des sols et l’élaboration d’une base de données des sols dans le but de poser une expertise objectivée de la qualité des terres. Les premiers résultats montrent que les perceptions relèvent de moments privilégiés d’observation des sols liés aux différentes opérations techniques conduites par les agriculteurs. Le terme de ‘ terre ‘ témoigne de l’absence d’une représentation verticale des couvertures pédologiques. Plus généralement, la confrontation des champs lexicaux relatifs aux sols avec les données analytiques soulignent des mécanismes de perception et de représentation faisant rarement référence aux propriétés des sols et à la notion de fertilité. L’impact des représentations sur la gestion spatiale du système de production à l’échelle de l’exploitation agricole est fonction du mode d’occupation du sol (prairie ou culture) et du niveau de formation des agriculteurs. Les premiers résultats laissent entrevoir la complexité des relations perceptions/représentations – pratiques agricoles – système de production. Actuellement, de nouveaux travaux visent à approfondir ces relations dans des systèmes agricoles plus intensifs et plus céréaliers. Mots clés : Sol, terre, perception, représentation individuelle, pratique agricole, système de production, qualité des sols, Pays d`Auge, Basse-Normandie. |
C. Schvartz; J. Thorette; S. Follain Représentation cartographique nationale d'un Indice cantonal d'Acceptabilité des sols à l'Épandage agricole de boues de stations d'épuration calculé à partir de la Base de Données nationale d'Analyses de Terre Article de journal Dans: Étude et Gestion des Sols, 15 (1), p. 37-50, 2008. @article{c_Schvartz2008,
title = {Représentation cartographique nationale d'un Indice cantonal d'Acceptabilité des sols à l'Épandage agricole de boues de stations d'épuration calculé à partir de la Base de Données nationale d'Analyses de Terre},
author = {C. Schvartz and J. Thorette and S. Follain},
editor = {Association Française pour l'Étude du Sol},
url = {https://www.afes.fr/wp-content/uploads/2017/10/EGS_15_1_schvartz.pdf},
year = {2008},
date = {2008-12-01},
journal = {Étude et Gestion des Sols},
volume = {15},
number = {1},
pages = {37-50},
abstract = {L’augmentation prévisible de la production de boues de stations d’épuration pose de façon nouvelle la question de leur gestion. L’épandage agricole de ces boues est encadré par une réglementation précise et limité par les conditions techniques de sa faisabilité agronomique. A partir de ces contraintes, nous avons établi un indice visant à évaluer la faisabilité de cet épandage à l’échelle cantonale. Les informations relatives aux sols ont été tirées de la Base de Donnée nationale d’Analyses de Terre. Chaque indice étant relié à un canton, il a été possible de donner une représentation cartographique nationale de l’information obtenue. Il apparaît que la restriction principale est induite par la réglementation qui interdit l’épandage lorsque le pH du sol est inférieur à 6. Dans le cas des boues chaulées, ce seuil est abaissé à 5 : le pH n’est alors plus un obstacle et les zone potentiellement favorables sont nettement augmentées. L’épandage des boues est alors directement concurrencé par celui des effluents d’élevage dans les régions où ils sont abondants. L’épandage agricole des boues de STEP est également compliqué par le fait que ces boues sont produites à proximité des zones urbaines et que leur transport vers des territoires plus agricoles est économiquement peu intéressant. Au bilan, il ressort que, si le chaulage est une solution nécessaire à l’établissement d’une filière solide pour la valorisation agricole des boues de STEP, il reste indispensable de mettre en place des filières alternatives complémentaires et d’envisager la gestion des déchets organiques de façon globale à l’échelle des territoires. Cet indice doit toutefois être interprété relativement à son échelle et ne dispense pas d’une expertise à la parcelle préalable à l’épandage.
Mots clés : Boues, station d'épuration, analyse de terre, épandange, cartographie.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
L’augmentation prévisible de la production de boues de stations d’épuration pose de façon nouvelle la question de leur gestion. L’épandage agricole de ces boues est encadré par une réglementation précise et limité par les conditions techniques de sa faisabilité agronomique. A partir de ces contraintes, nous avons établi un indice visant à évaluer la faisabilité de cet épandage à l’échelle cantonale. Les informations relatives aux sols ont été tirées de la Base de Donnée nationale d’Analyses de Terre. Chaque indice étant relié à un canton, il a été possible de donner une représentation cartographique nationale de l’information obtenue. Il apparaît que la restriction principale est induite par la réglementation qui interdit l’épandage lorsque le pH du sol est inférieur à 6. Dans le cas des boues chaulées, ce seuil est abaissé à 5 : le pH n’est alors plus un obstacle et les zone potentiellement favorables sont nettement augmentées. L’épandage des boues est alors directement concurrencé par celui des effluents d’élevage dans les régions où ils sont abondants. L’épandage agricole des boues de STEP est également compliqué par le fait que ces boues sont produites à proximité des zones urbaines et que leur transport vers des territoires plus agricoles est économiquement peu intéressant. Au bilan, il ressort que, si le chaulage est une solution nécessaire à l’établissement d’une filière solide pour la valorisation agricole des boues de STEP, il reste indispensable de mettre en place des filières alternatives complémentaires et d’envisager la gestion des déchets organiques de façon globale à l’échelle des territoires. Cet indice doit toutefois être interprété relativement à son échelle et ne dispense pas d’une expertise à la parcelle préalable à l’épandage. Mots clés : Boues, station d'épuration, analyse de terre, épandange, cartographie. |
M. Eimberck; B. Joly Numérisation d'études pédologiques à moyennes échelles : Méthodologie et estimation des coûts Article de journal Dans: Étude et Gestion des Sols, 15 (1), p. 51-68, 2008. @article{d_Eimberck2008,
title = {Numérisation d'études pédologiques à moyennes échelles : Méthodologie et estimation des coûts},
author = {M. Eimberck and B. Joly},
editor = {Association Française pour l'Étude du Sol},
url = {https://www.afes.fr/wp-content/uploads/2017/10/EGS_15_1_eimberck.pdf},
year = {2008},
date = {2008-12-01},
journal = {Étude et Gestion des Sols},
volume = {15},
number = {1},
pages = {51-68},
abstract = {Les connaissances acquises sur les sols depuis plus de 30 ans constituent un capital qu’il est indispensable de sauvegarder et d’organiser en bases de données plus aisément utilisables que les cartes traditionnelles. L’Unité INRA InfoSol a entrepris la numérisation des études à 1/100000 initiées jusqu’en 2001 par le Service d’Etudes des Sols et de la Carte Pédologique de France. Ceci constitue l’un des axes majeurs du programme Connaissance Pédologique de la France, volet du programme national d’inventaire multi-échelles I.G.C.S. La structuration des données est faite selon le Modèle d’Organisation des Sols DoneSol du programme I.G.C.S., afin d’assurer la cohérence et l’harmonisation de l’ensemble des données à toutes les échelles d’inventaire. Un cadre méthodologique est proposé à partir de trois exemples de cartographies pédologiques différentes dans leurs concepts et leur échelle :
- les cartes à 1/100 000 de Brive la GaillardeLe sol, maillon-clé de la gestion écosystémique de la biosphère anthropisée
et Châteaudun (Carte Pédologique de France), synthétiques et de type morphogénétique
- une portion de la Carte des Sols de la région Centre à 1/50 000, de type analytique (type de sol associé à 9 critères). Les différentes étapes de mise au format des données extraites des cartes et des notices sont présentées en distinguant les opérations automatiques (ou automatisables) et les phases d’expertise. Une estimation du temps de travail et des coûts, nécessaire à la réalisation de telles opérations, est proposée.
Mots clés : Numérisation graphique et sémantique, modèle dÓrganisation Spatiale des Sols, DoneSol, bilan cartographique, Carte Pédologique de France, Carte des Sols de la région Centre.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Les connaissances acquises sur les sols depuis plus de 30 ans constituent un capital qu’il est indispensable de sauvegarder et d’organiser en bases de données plus aisément utilisables que les cartes traditionnelles. L’Unité INRA InfoSol a entrepris la numérisation des études à 1/100000 initiées jusqu’en 2001 par le Service d’Etudes des Sols et de la Carte Pédologique de France. Ceci constitue l’un des axes majeurs du programme Connaissance Pédologique de la France, volet du programme national d’inventaire multi-échelles I.G.C.S. La structuration des données est faite selon le Modèle d’Organisation des Sols DoneSol du programme I.G.C.S., afin d’assurer la cohérence et l’harmonisation de l’ensemble des données à toutes les échelles d’inventaire. Un cadre méthodologique est proposé à partir de trois exemples de cartographies pédologiques différentes dans leurs concepts et leur échelle : - les cartes à 1/100 000 de Brive la GaillardeLe sol, maillon-clé de la gestion écosystémique de la biosphère anthropisée et Châteaudun (Carte Pédologique de France), synthétiques et de type morphogénétique - une portion de la Carte des Sols de la région Centre à 1/50 000, de type analytique (type de sol associé à 9 critères). Les différentes étapes de mise au format des données extraites des cartes et des notices sont présentées en distinguant les opérations automatiques (ou automatisables) et les phases d’expertise. Une estimation du temps de travail et des coûts, nécessaire à la réalisation de telles opérations, est proposée. Mots clés : Numérisation graphique et sémantique, modèle dÓrganisation Spatiale des Sols, DoneSol, bilan cartographique, Carte Pédologique de France, Carte des Sols de la région Centre. |
G. Pédro Le sol, maillon-clé de la gestion écosystémique de la biosphère anthropisée Article de journal Dans: Étude et Gestion des Sols, 15 (1), p. 69-76, 2008. @article{e_Pédro2008,
title = {Le sol, maillon-clé de la gestion écosystémique de la biosphère anthropisée},
author = {G. Pédro},
editor = {Association Française pour l'Étude du Sol},
url = {https://www.afes.fr/wp-content/uploads/2017/10/EGS_15_1_pedro.pdf},
year = {2008},
date = {2008-12-01},
journal = {Étude et Gestion des Sols},
volume = {15},
number = {1},
pages = {69-76},
abstract = {Conférence présentée à Florence à l`occasion de la séance solennelle de l'Áccademia dei Georgofili' le 27 avril 2007.},
keywords = {},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
Conférence présentée à Florence à l`occasion de la séance solennelle de l'Áccademia dei Georgofili' le 27 avril 2007. |